mardi 22 septembre 2009

Message pour les arabes et les musulmans

Pour tout ceux qui se reconnaissent quand on parle des "arabes et des musulmans", je voudrais vous parler :

Ceux qui achètent des dvds, des blu-rays, ou ceux qui vont au cinéma, vous êtes dans le consumérisme mercantiliste aigüe tout fiers d'avoir une centaine de films à trente euros pièce. Vous enrichissez Hollywood! Connaissez-vous ces sionistes en puissance qui veulent vous exterminer?

Tom CRUISE : (scientologue dégénéré, dont le niveau de réflexion est à peu prés comparable à celle d'une huître, car le conflit Israëlo-palestinien ne concerne pas tout les arabes, seulement les palestiniens.) Bref, voila ce qu'il dit : "Les Arabes sont la source du terrorisme. J’espère qu’Israël les exterminera tous" (déclaration reprise par la presse internationale).

Richard GERE : (Encore de l'intellectualisme Hollywoodien) : "les Arabes sont plus vils que les animaux, c’est un fardeau pour le monde qu’il faut exterminer."

Harrison ford : (Que vous adorez, hien!) : "Les Arabes sont des créatures moches, et moins que des animaux et nous les juifs la cause de ce monde. Il n’y a aucune comparaison».

Arnold Schwarzenegger: «Les Arabes sont les terroristes et Israël essaye de rendre le monde plus sûr, en avant Israël».

Tout ceci pour dire que quand Mel Gibson tiens quelques propos anti-juifs alors qu'il est saoûl, il a presque été traité de criminel nazi. Par contre l'insulte contre plusieurs nations ou peuples "arabes" reste excusée. D'ailleurs, les arabes eux-même ne voient pas cet état d'esprit systématiquement discriminatoire qui est celle d'Israël depuis déjà pas mal de temps, et ils continuent à donner leur fric à Hoolywood, ou à se croire dans un combat courageux en insultant la France.

Les "arabes-musulmans" qui ne se reconaissent pas dans cette description, et qui font un effort d'intégration parce que faute d'hériter de la nationalité, ils veulent la mériter, je suis avec eux. Pour la bonne compréhension ce ne sont pas les Juifs qui sont remis en cause mais bien le sionisme qui se réclame en tant que représentant des Juifs, or, ce n'est qu'une IDEOLOGIE POLITIQUE, une politique d'extermination, de guerre raciale, de génocide des palestiniens.

lundi 21 septembre 2009

Simone de Beauvoir vs Alain Soral

La grande prêtresse du féminisme, Simone de Beauvoir, décryptée par Alain Soral.

J'observe la profondeur et la cohérence du discours de Soral. Un grand intellectuel de notre temps, qui embrasse la réalité et l'analyse sans peur du politquement correct consensuel. Le résultat d'une reflexion qui se fait rare voire inexistante chez nos philosophes à la BHL.

dimanche 20 septembre 2009

Frédéric Taddéï et le 11 septembre 2001

Suite à la sortie du livre de Eric Raynaud “11 septembre - les vérités cachées”, Frédéric Taddéï a organisé un débat de quelques minutes dans son émission “Ce soir ou jamais” le 15 septembre 2009.

Débat 11 septembre avec Mathieu Kassovitz Part 1

Débat 11 septembre avec Mathieu Kassovitz Part 2

L'homosexualité et le communautarisme gay.

Vidéo assez vieille de "un livre, un débat", de Patrick Buisson.

Intervenants :

Alain Soral : essayiste

Pascal Sevran : romancier, essayiste

Guillaume Dustan : romancie, essayiste

Renaud Camus

(video de rutube car censurée sur youtube et dailymotion)

jeudi 10 septembre 2009

Le Satanisme





A priori, le Satanisme et l’anarchisme sont deux choses réellement différentes dont les buts divergent. Mais les pseudos jeunes révolutionnaires en pleine crise d’ado ne comprennent ni les subtilités, ni le sens de tous ceci. J’essayerai d’éclaircir tout ceci.

Tout d’abord, un peu de théologie. En effet, dans les religions monothéistes, Il existe deux entités contradictoires : le Bien et le Mal. Deux noms pour les deux : Dieu et Satan. Dieu est l’incarnation de l’Amour, et, dans les textes sacrés, ceux qui ont fait le mal, même au nom de Dieu, suivaient en fait les tentations et les pièges du Malin, qui prône le Mal.

En effet, le Diable est un ange déchu qui aurait choisit le Mal, et aurait entraîné d’autres anges avec lui. Depuis, deux forces sont en l’Homme : la Bien et le Mal. Certes vision manichéiste, mais c’est le perpétuelle déchirement qui régis l’Homme depuis tout temps, de St Augustin à Rousseau.

Les chrétiens, les musulmans ou les Juifs choisissent d’essayer de combattre le Mal, et de faire le Bien, notion qui renvoie au bien commun, à l’altruisme, pour faire avancer l’Homme et la société. Par rapport à l’individu, c’est aussi le moyen sotériologique d’entrer dans l’eternel paradis. En outre, les satanistes sont bels et bien de ce fait des croyants, qui aspire à l’enfer plutôt qu’au paradis. L’enfer est un concept assez flou et diffère selon les religions, mais c’est en tout cas un état de souffrance extrême de l'esprit humain après la séparation du corps et de l’esprit, la mort. Ces croyants suivent donc comme principe de vie le Mal. C’est la base du satanisme.

Le sataniste doit honorer Satan, et pratique des rituels voire des sacrifices pour faire avancer le royaume du Mal. De nombreuses sectes néobabylonnienne, ésotériques, ont des pratiques satanistes occultistes, avec par exemples la magie sexuelle, ou des invocations démoniaques.

Si le satanisme existe depuis toujours, Anton Szandor Lavey (1930-1997) est précurseur de la philosophie sataniste. Sa doctrine est basée sur l’individualisme et le matérialisme. S’inspirant d’Aleister Crowley, il fonda l’Eglise de Satan. S’il prône Satan comme force maléfique et non comme force divine, il est toutefois l’inspirateur des messes noires, avec les rites religieux chrétiens mais version sataniste : baptême satanique, funérailles sataniques, lui-même étant appelé le « pape noir ». Il écrivit également la Bible Satanique et autres récits diaboliques.

Les correspondances entre le satanisme et l’anarchisme viennent du fait que l’essence de l’Homme serait l’individualisme, l’égoïsme. L’égalité, l’ouverture aux autres et la charité, principes chrétiens, doivent selon eux être remplacé par l’adoration de soi, étant notre propre Dieu. « Fais ce que tu veux ». Cette devise de l’abbaye de Thélème de Rabelais est celle de l’inspirateur des organisations occultes de l’Ordre hermétique de l'Aube dorée ou de l'Ordo Templi Orientis, Aleister Croweley (1875-1947). C’était un illuminé, adeptes de drogues, qui était un lien avec la Kabbale, l’astrologie, ou la Magie, et qui prétendait avoir eu une vision au Caire d’une entité intelligente appelée Aiwass, qui lui délivra un message par écriture automatique, écrit retranscrit dans son livre : « Livre de loi ». Il s’est autoproclamé « the beast 666 », (la bête 666, la bête et son chiffre 666 incarnant Lucifer), et a été expulsé d’Italie pour suspicion de sacrifices rituels. Suite à ceci il s’est installé aux Etats-Unis, où les mêmes accusations sont nées. Franc-maçon, ami de Mussolini et admirateur d’Hitler, il écrit que la meilleure victime des sacrifices rituels est un jeune mâle blanc plein d’innocence. Ce prêtre de la Golden Dawn, aussi débile profond et dégénéré soit-il, tenait une place importante dans la politique de son temps, s’introduisant et influençant, inspirant également des courants de pensée comme celui d’Anton Lavey. Ne croyez pas innocemment et naïvement que ce triste personnage est très éloigné de notre propre culture. Nous le retrouvons souvent, notamment dans nos musiques de rock. Ainsi, Sur un de ses albums solo, Inside Of Emptiness, le guitariste des Red Hot Chili Peppers, John Frusciante, présente 3 chansons inspirées de sa vie, écrites durant la lecture de textes de Crowley : Emptiness, I’m Around et 666. Sans compter les innombrables adorations pour lui des groupes de métal du genre Marylin Manson, les groupes de rock ont également de nombreuses allusions à cet homme, comme le groupe des Beatles, dont le visage d’Aleister Crowley figure dans leur album Sergeant Pepper's, (image qui comporte tout les « héros » du groupe). Ce groupe connu de toute une génération a déclaré que A.C était leur mentor intellectuel, ce qui peut se comprendre dès lors que l’on se penche sur la symbolique de la pochette Yellow Submarine. En effet, nous pouvons y voir John Lennon faire le Cornutos, rappelant le Baphomet, signe bien connus des satanistes, et Paul McCartney qui fait un signe plus subtil mais bien connu dans n’importe quelle livre de la Wicca, le 666.

Bref, aujourd’hui, le satanisme s’est introduit partout. Si une personne se dit sataniste, il devrait donc adorer Adolphe Hitler, l’incarnation personnelle de Satan, non ? Et ils devraient encourager tout les génocides les plus immondes, ainsi que des choses ignobles tels la pédophilie ou autres monstruosités. Mais en réalité, l’étiquette que beaucoup de jeunes aiment se coller comme le satanisme relève d’une instrumentalisation et d’une manipulation. En effet, ils ne désirent au fond pas et n’adore pas le Mal. Mais ils sont contre la religion, en particulier la chrétienté, et se disent facilement «guerrier » contre les chrétiens. Mais bon nombre de personnes ne croient pas en Dieu, pensent que la religion est une mauvaise chose et prône un matérialisme du corps comme de l’esprit. Pourtant, ces personnes-là ne se disent pas pour autant satanistes. Alors plusieurs facteurs peut entrer en jeu pour vouloir se prétendre serviteur de Satan.

Une attirance vers le sombre, le noir, le mal, peut amener à s’habiller en conséquences et adopter l’ « état d’esprit » satanique, sans en connaître le fond, et, par ce biais, à faire connaissance d’autres satanistes, connaisseurs, manipulateurs et prosélytes, qui entraîne dans des messes noires, concerts (Maryline Manson qui ne veut pas de vierges dans ces concerts, éjacule sur son public, déchire des Bibles, jette des morceaux de viandes…) ou séances d’invocations. Le satanisme cache en réalité une admiration pour le sacré des évangiles, une admiration pour le divin. En effet, ils ont le besoin de faire l’inverse de la doctrine religieuse, ils ne font pas que la dénigrer, ils agissent comme des serviteurs de l’Antéchrist. Un homme athée même anticlérical non sataniste n’éprouve pas le besoin de déchirer une Bible, car, pour lui, c’est un livre comme un autre. Cette admiration qui s’est retournée comme haine peut être dû à l’enfance. On sait que celle d’Aleister Crowley s’est passée dans la confrérie de Plymouth. Avec cette éducation stricte, Aleister à pris le contrepied des valeurs. Histoire qui ressemble à celle de Maryline Manson, scolarisé à la « Heritage Christian School », déçu de l’enseignement chrétien, et qui prend, inconsciemment ou non, sa revanche envers les principes de l’église épiscopale. Ce sont deux exemples parmi d’autres de personne éduqués sévèrement, qui veulent, en plus de s’éloigner des valeurs universelles de la religion, la détruire et faire l’inverse. C’est de la psychologie, mais les exemples qui attestent de se renversement sont surnuméraires. Cette psychologie se retrouve chez beaucoup de personnes importantes, pas seulement pour la religion, mais aussi pour d’autres convictions. En politique, par exemple, c’est le parcours d’une Ségolène Royale, éduquée par une famille catholique traditionnaliste.

Nombres de jeunes se sont faits et sont entraînés dans cette géhenne à cause de musiques black metal et death metal, qu’ils aimaient peut-être au départ pour d’autres raisons que le fond de leurs paroles (style musical, instrumental, le soi disant contrecoup de la culture imposée), mais se rencontrent en groupe de jeunes gens écoutant les mêmes musiques, et se laisse avoir par l’instinct grégaire en allant toujours plus loin : scarifications, profanations de tombes, de lieux sacrés, etc…

Egalement les Gothiques, qui se diraient satanistes, ont le goût prononcé pour l’obscure. Cette sous-culture issue des mouvements punk et new wave adopte une esthétique sombre, macabre, et souvent provocatrice. Se réclamant du satanisme, les personnes issues de ce mouvement nourrissent par leur mode vestimentaire un manque psychologique, qui est souvent l’attention et l’affectivité. En effet, c’est encore de la psychologie. Le besoin d’exister plus que d’insulter l’Eglise, le besoin que les gens nous regardent, même avec un œil méfiant, plus que l’adhérence aux doctrines du Mal. Ou alors seulement en cache-sexe, pour être « rebelle ». Cette crise juvénile peut s’aggraver avec le temps, mais généralement finie par mourir de son inanité et de ses inimitiés.

Cependant les parents ne sont pas toujours au courant de ce danger et se tiennent timide et impuissant face à leur ado sataniste (s’ils se rendent compte de cette aspiration, ce qui n’est pas toujours le cas.) Il faut donc surveiller les musiques écoutées, les personnes rencontrées, et dialoguer, communiquer, combler le manque affectif ou autre qui le déchire en lui-même.